Article originellement publié sur futurism.com, traduit par Corentin Blanco pour le MFRB (Mouvement Français pour un Revenu de Base).
Le débat sur le revenu de base
Bien qu’elle ne soit pas nouvelle, la notion de revenu de base universel (RDB) – un système dans lequel toutes les personnes, sans distinction d’occupation, de situation démographique, de statut social, d’éducation ou de tout autre facteur extérieur, reçoivent un revenu de base – a gagné en popularité au cours des dernières années.
Aujourd’hui, des experts prédisent que 2018 sera l’année où le concept fera partie des grands sujets politiques.
« Nous allons voir des propositions concrètes sur le revenu de base introduites en 2018, que ce soit au niveau des États ou des villes », a déclaré Jim Pugh, expert du revenu de base à San Francisco et cofondateur d’Universal Income Project. « Quand je parle de revenu de base, presque tout le monde connaît le concept, y compris les élus. »
L’accent mis actuellement sur le revenu de base est en grande partie dû au recours accru à l’automatisation sur le lieu de travail. Au fur et à mesure que les systèmes automatisés rendent de plus en plus de travailleurs « obsolètes », le RDB est apparu comme un moyen de leur fournir l’argent nécessaire pour subvenir à leurs besoins de base.
Le revenu de base attire peut-être beaucoup l’attention en ce moment, mais les experts continuent de ne pas s’entendre sur l’impact potentiel d’un tel système. Les partisans affirment qu’il pourrait considérablement relancer l’économie, éliminer la pauvreté et donner aux gens plus de temps pour les loisirs ou pour poursuivre d’autres projets. Pendant ce temps, les détracteurs du RDB prétendent que le système pourrait rendre les gens paresseux et les encourager à se retrouver au chômage.
Il est vrai qu’il existe beaucoup d’options entre une société ayant instauré un vrai revenu de base, et une société qui n’en possède pas du tout (comme un crédit d’impôt sur le revenu gagné), et l’expérimentation de ces options pourrait servir à réduire le fossé entre les sympathisants et opposants du revenu de base.
« Rappelez-vous, le revenu de base n’est pas une idée unique. C’est une direction de pensée », a déclaré Rutger Bregman, historien néerlandais et défenseur du revenu de base.
« Nous pouvons faire en sorte que notre État-providence actuel soit plus ouvert à des évolutions pro-revenu de base à bien des égards. Et il y a beaucoup de politiciens – principalement à gauche – qui sont en faveur de cette direction. »
Bientôt incontournable dans l’opinion publique ?
2017 a été une grande année pour le revenu de base.
Aux États-Unis, Hawaï est devenu le premier État à adopter un projet de loi en faveur du revenu de base et Stockton, en Californie, est quant à elle la première ville à lancer une expérience sur le RDB. Le plus grand projet de revenu de base de l’histoire a été lancé au Kenya, et en Europe, la Finlande et l’Écosse ont toutes deux poursuivi leurs propres essais.
Cependant, alors que la popularité du revenu de base est en hausse, tous les experts ne sont pas certains que 2018 sera l’année où il sera repris par le courant politique dominant.
« Je pense que l’intérêt continuera de croître. Je ne pense pas que nous verrons des progrès significatifs en matière de politique cette année », a déclaré Sam Altman, président de la start-up Y Combinator et partisan du revenu de base. « Mais je pense que c’est entré dans les esprits des gens d’une manière qui est bonne et différente du communisme, et peu à peu les gens s’ouvrent à l’idée. »
Que ce soit Altman, Pugh, Bregman ou tout autre expert qui ait raison pour 2018, le sujet du revenu de base gagne certainement en popularité auprès des législateurs. Et si 2018 n’est pas l’année où il aura la faveur du courant politique dominant, il est probable qu’il le sera dans un avenir très proche.
Si nous comprenons que l’UBI est la conséquence principale de ce qu’est la Troisième Voie et que toutes les questions de cet article ont des réponses claires aux postulats que j’ai indiqués, un pas énorme aurait été franchi et Joseph Charlier, qui en 1848 avait écrit premierement sur UBI va remplacer Marx dans la pensée humaine. Voici ce que nous entendons par la troisième voie :
Je pense que je suis parvenu de justifier l‘idee de Mr. Jean Marc Ferry sur l’allocation universelle, mais je ne sais pas comment communiquer avec lui ni avec Mr Pierre Manent qui a également fait référence dans son livre « Cours familier de philosophie politique ».
La troisième voie socio-économique, ne est pas ni capitalisme ni socialism, mais juste la modalite de résoudre la question de la propriété, pour que le désir fondamental des personnes à naître libres et égaux on peut avoir une base économique solide et non pas seulement quelques bla, bla qui sont beau mais vraiment qui ne ont pas de cohérence.
J’ai un intérêt particulier pour « une troisième voie » par qui je considere la troisième voie de la évolution social-économique de l’humanité, un voie qui se trouvent entre le communisme et le capitalisme
Donc premierement le postulat de La troisieme voie : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits car il naissent et restent jusqu’à leur mort, et ceci de manière inaliénable, propriétaires de leur force de travail et propriétaires à parts égales des ressources naturelles dans les composantes non touchés par l’exploitation et la transformation de l’homme.
Et apres, quelque arguments minimales :
Nous allons vous proposer un texte qui présente des considérations portant sur les fondements d’une science économique qui aurait à sa base des postulats en tant que principes aussi bien économiques que moraux. Nous affirmons que la Troisième Voie de développement économique et social de l’Humanité que même si elle est souhaitée par beaucoup N’EXISTE PAS (encore), mais elle s’impose comme une NECESSITE.
Quelque chose qui s’impose donc comme une nécessité peut ne pas être reçu par ceux que ces questions concernent et parfois nous pensons même que nous sommes pas encore prêts pour cette Troisième Voie, plus précisément nous pensons que l’humanité n’est pas encore prête pour recevoir les axiomes que je propose, même si je suis convaincu que sans leur adoption elle va disparaître d’une façon ou d’une autre, pas forcement d’une manière totale, mais très certainement en tant que civilisation, tel que c’est présenté dans des divers films fantastiques et apocalyptiques.
J’ai préparé un court énoncé avec lequel je vais conclure, avec la présentation du desiderata social le plus profond, et ont peut prouver que c’est grâce à son application que le développement positif de notre civilisation à eu lieu.
Ceci apparaît de manière plus explicite au cours du XVIIIe siècle au Etats-Unis chez ses pères fondateurs, qui comme Philip Mazzei ont affirmé « Tous les hommes sont créés égaux » pour mieux légiférer cette proposition dans l’introduction de la Déclaration d’Indépendance des Etats-Unis d’Amériques, écrite par Thomas Jefferson en 1776, qui dit textuellement :
« Tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur ».
Par la suite les textes devient plus précis et plus proches d’une formulation juridique : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » et « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».
Ces mots figurent au frontispice de deux plus grands textes de l’humanité, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 26 août 1789 et la Déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée par l´Assemblée générale des Nations unies dans sa résolution du 10 décembre 1948.
Nous soutenons que même si ces mots restent au stade de desiderata, le développement positif de la civilisation a dépendu du degré d’application de ces principes et il est évident que cet état de fait à été maximal à l’endroit où ces idées ont vu le jours, c’est-à-dire au Etats-Unis et dans l’occident européen.
Les sciences économiques n’ont pas réussi encore à fonder ces desideratas de la raison et du coeur des hommes, même si c’est tellement simple de les fonder de manière économique, ainsi tout devient à notre sens comme l’oeuf de Colomb.
Donc, les axiomes qui doivent fonder de manière économique et juridique le desiderata exposé ci-dessus en posant les fondations du développement des sciences économiques, que nous allons appeler la Troisième Voie de développement de l’Humanité, sont :
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits car il naissent et restent jusqu’à leur mort, et ceci de manière inaliénable, propriétaires de leur force de travail et propriétaires à parts égales des ressources naturelles dans les composantes non touchés par l’exploitation et la transformation de l’homme.
Bien entendu, c’est à la charge des spécialistes des sciences économiques d’appliquer de tels axiomes, s’ils les acceptent, car un axiome n’a pas besoin d’être démontré, il nous suffit de l’accepter et l’appliquer, en créant par la même occasion les bases théoriques d’implémentation sociale de la Troisième Voie, visage humain de la globalisation opposé au rictus mauvais de l’hypocrisie diabolique destructif.
Je crois que le revenue universele est un droit et non un obligation ou un genre de protection sociale et je le réaffirme : le revenu universel d’existence sera le nouveau pilier de la protection sociale de demain. La Troisieme voie change fondamentale le sistem economico-social . Un nouvel science economique est a refaire et le revenue universele est un consequence naturelle de cela.
Et je ajoute : Je ai indiqué parmi les postulats de cette théorie, comme le veritable postulat qui garantit l’égalité dans la liberté des personnes, le principe de la propriété commune sur des ressources naturelles de qui, je pense, on peut déduire de la proposition de Jean-Marc Ferry qui dans son “L’allocation universelle” (1995) suggère donc ce qu’il a appelé « allocation universelle » de la citoyenneté, qu’il définit comme suit : « La répartition des revenus primaires sociale égalitaire sans condition, comme un revenu de citoyenneté”. Si vous pouvez également prendre l’initiative, dit Ferry “droit au travail doit cesser d’être hypocrite.”
Les fondements économique de revenu-de-base-garanti, est ce postulat qui nous le proposons pour la Troisième Voie de développement économique et social de l’Humanité et je le repete : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits car il naissent et restent jusqu’à leur mort, et ceci de manière inaliénable, propriétaires de leur force de travail et propriétaires à parts égales des ressources naturelles dans les composantes non touchés par l’exploitation et la transformation de l’homme. » Donc la la propriété commune des ressources naturelles est la solution corecte et la justification de cette proposition pour l‘inconditionnel.
Nous croyons également et que cette proposition de revenu de base en France et en fait partout , revenu qui n’est pas un moyen de bienfaisance sociale, mais un droit, resultent aussi de ce postulat.
Je crois que pour la question ecologique est assez de presenter le axiome de ecologie tant que probleme sociale et economique strictement descendante de la propriété commune sur les ressources naturelles : nul ne peut pas être exonere de la responsabilité incombant à l’utilisation et a la protection des actifs naturels.
Je dois ajouter que de principe :
Le communisme en introduisant complètement la socialisation de la production a fais une seule bonne chose en introduisant de cette maniere dans la propriété commune aussi les resurses naturelle en leur qualité des objets de la main‑d’œuvre . Toutefois on doit dire que le communisme a etait et est une catastrophe, un désastre pour la liberté humaine, Tout en prétendant respecter la liberté individuelle, cette propriete commune totale sur le moyens de productions, est en fait ce qui fait que les travailleurs restent seulement des outils sociales et que la dictature etre la regle.
Le capitalisme est mauvais seulement pour que dans ce domaine il ne reconnais pas de la propriété commune des ressources naturelles mais le reste est ok et il peut être dirigé vers une « Le troisième voie », voie que nous pouvons aussi appeler humanisme socio-économique.
Par des mesures empiriques comme plusieurs corrections apportées au bon fonctionnement de la distribution etc, il est en present plus près de la notion de revenue universele ( UBI).”
Plus vous trouveront sur mon blog :http://ionceldomn.blogspot.ro/…/postulates-of-economics…
Merci pour votre atention