Nicolas Cuissot-Lecoeuche revient dans cette tribune sur les propos tenus par Arnaud Montebourg à propos de la “valeur travail”, justifiant son opposition au revenu universel.
En 2012, devant les hauts fourneaux à Florange, le ministre du redressement productif se pose en contrepoids des multinationales et en sauveur de l’emploi en France. En 2013, désavoué par le Président normal des français, Robin des bois avait quitté le navire en attendant des jours meilleurs.
Depuis, François Hollande a passé la main au PS et aujourd’hui Arnaud Montebourg, le chantre du made in France est de retour, grâce à la réindustrialisation du pays il y aura du travail pour tout le monde.
Car enfin, le travail c’est la santé, avance le trublion avant d’indiquer ses références :
« Je suis un petit peu finalement comme Victor Hugo quand il exaltait ‘le travail fier’. Moi je crois à la société du travail parce que c’est l’outil de la dignité du citoyeni ».
Et toc ! Sauf que cette citation de Victor Hugo tiré du roman L’homme qui rit date de 1869 et que depuis le monde a légèrement changé. Pour Monsieur Montebourg pas de problème, figurez-vous qu’il a parcouru les siècles avec une machine à remonter le temps, alors un anachronisme de plus ou de moins… On est en quelle année déjà ?
Trêve de plaisanterie, Monsieur Montebourg se pose donc en défenseur de la valeur travail et plaide pour davantage de justice sociale. Nous pourrions tomber d’accord sur le second point mais, malheureusement, des siècles nous séparent quand il s’agit de choisir une méthode.
Selon lui « le revenu universel est une solution pour après-demain parce qu’elle est infaisable ». Ce qui est certain c’est que les solutions de demain ne seront pas apportées par des personnes qui défendent des modèles d’avant-hier.
Et de renchérir :
« Si vous décidez de verser un revenu universel, c’est-à-dire pour tout le monde, de 700 et quelques euros, ça coûte l’équivalent de la totalité du budget de l’État. Donc on ne va pas créer, avec 35 points de CSG de prélèvements supplémentaires, un État social à côté de celui qui existe déjà. »
Nous invitons Monsieur Montebourg à approfondir les idées de revenus universels, sachant que c’est un débat qu’il juge « intéressant ». Nous non plus ne voulons pas nécessairement créer un Etat social à côté de ce qui existe déjà puisqu’il s’agit aussi de l’améliorer en remplaçant (en partie) d’anciennes prestations ciblées moins efficaces par une prestation universelleii. D’un autre côté, même dans le scénario où très peu de prestations seraient remplacées, si cela peut paraître « irréalisable » l’instauration de la sécurité sociale aurait pu, rapportée au PIB de l’époque, paraître tout aussi farfelue.
Ensuite, le travail comme l’outil de la dignité du citoyen, ce serait une belle chose, seulement dans notre société, il semble que pour beaucoup, le travail institué en emploi, ne soit pas vraiment le lieu où s’exalte l’émancipation, ni la dignité humaine. Selon l’institut Gallupiii 13% seulement des travailleurs français seraient impliqués dans leur travail. Parmi les 87% restants, presqu’un tiers sont activement désengagés, c’est-à-dire qu’ils développent un rapport au travail contre-productif en conflit avec les intérêts de leur employeur… Je vous laisse réfléchir à l’énergie humaine gaspillée dans le système de l’emploi actuel.
Alors Monsieur Montebourg, ne nous méprenons pas, nous ne défendons pas le revenu universel parce que nous voulons abolir le travailiv, ce qui est impossible, mais peut-être voulons-nous remettre en cause sa nécessité dans la forme actuelle et lui redonner une signification.
Au contraire nous voulons améliorer le travail en donnant à chacun l’autonomie nécessaire à une meilleure prise de décision ; en reconnaissant aussi le travail en dehors de l’emploi traditionnel qu’il soit salarié et rémunéré ou non, en rendant possible d’autres formes d’organisation plus collaboratives et plus efficaces sur le plan économique et social, comme le suggèrent les résultats des recherches menées en gestion des ressources humainesv.
Il nous semble que le travail a été confondu avec l’emploi, or le premier est partout et pas seulement, ni toujours, compris dans le second. Il y a des quantités d’emplois sans travail et une montagne de travail que l’on ne voit pas.
Peut-être faut-il quitter la société de l’emploi obligatoire qui conditionne l’existence sociale, rompre avec le modèle de société dominant et réfléchir à de nouveaux modèles plus en phase avec notre temps. Certains comme Benoît Hamon, Yannick Jadot, ou encore Frédéric Lefebvre l’ont compris. Cependant la plupart continue à défendre l’emploi comme s’il s’agissait d’une ressource, comme si l’emploi, avec son corollaire, le travail, était une fin en soi. Nous pensons que l’on devrait plutôt en questionner le sens et objectiver son apport, et pour le vivre ensemble, et pour la création de richesses.
Bien sûr, nous sommes pour plus de justice sociale, pour l’émancipation dans une société plus humaine et durable pour les nouvelles générations. Mais avant tout nous voulons retrouver le sens de nos activités et remettre en question les certitudes sur la création de valeur et la place du travail idéologies, car porter un vrai débat, c’est aussi ça l’esprit du revenu universel.
Nicolas Cuissot-Lecoeuche
Image : CC Pixabay.
i Montebourg sur Europe 1 : http://lelab.europe1.fr/pour-expliquer-son-opposition-au-revenu-universel-arnaud-montebourg-se-compare-a-victor-hugo-2940770
ii KORPI, W., PALME, The Paradox of Redistribution and Strategies of Equality : Welfare State Institutions, Inequality and Poverty in the Western Countries Phttp://archives.cerium.ca/IMG/pdf/Korpi_Walter_and_Joakim_Palme_The_Paradox_of_Redistribution_and_Strategies_of_Equality_Welfare_State_Institutions_Inequality_and_Poverty_in_Western_Countries.pdf
iii GALLUP ORGANISATION (2013) State of the global workplace, Employee engagement insights for business leader worldwide, En Europe Les compétences des travailleurs ne seraient pas suffisamment valorisées et l’environnement de travail serait négligé. Le manque à gagner est estimé à 100 milliards de $ si on prend seulement l’économie allemande.
iv Mais éventuellement l’emploi. Voir aussi : LIOGIER, R. (2016) Sans emploi, les liens qui libèrent, Paris
v PFEFFER, J. (1998) The human equation. Cambridge : Harvard Business Review Press.
Bonjour.
«« Retrouver le sens de nos activités, bâtir un avenir durable pour les nouvelles générations et remettre en question nos idéologies, c’est aussi ça l’esprit du revenu universel. »»
Belle conclusion pleine de sens. Bravo, votre regard porte sur l’ensemble et résume bien la tâche pour l’Alternative à concevoir, tous ensemble.
Cuba a démontré que le Peuple est habilité à participer au Politique. Il est rare d’entendre parler du processus de la démocratie directe. En voici un exemple éclatant.
Je me permets de laisser ce commentaire sur l’article
La belle « démocratie » de Fidel Castro
par Sylvain Rakotoarison (son site)
jeudi 1er décembre 2016
ttp://www.agoravox.fr/actualites/international/article/la-belle-democratie-de-fidel-186934
En réponse, ce commentaire de
Jacques-François Bonaldi 1er décembre 19:34
Puisque vous nous présentez votre vision condescendante et hautaine de la « démocratie cubaine », même si elle fait de clichés et d’a‑peu-près, vous voudrez bien, j’espère, lire la mienne : elle est tirée d’un livre sur Cuba qui sera publié prochainement sur Internet.
Bien à vous
Jacques-François Bonaldi (La Havane)
Que se passe-t-il dans le pays si vilipendé en matière de « démocratie », où, à en croire la presse internationale, sévit la féroce dictature de deux frères impitoyablement accrochés au pouvoir comme des arapèdes à leur rocher depuis plus d’un demi-siècle ? Eh bien, il s’avère que toutes les grandes décisions, toutes les lois capitales touchant l’ensemble de la société et la vie des citoyens sont, non seulement votées en fin de parcours, mais encore, dès le départ, analysées, consultées, amendées par l’ensemble de la population à travers ce qu’on appelle ici les organisations sociales et les organisations de masse (d’aucuns les appelleraient aujourd’hui d’un terme plus à la mode : la « société civile »…), à savoir les Comités de défense de la Révolution (CDR) institués au niveau de quartier, la Fédération des femmes cubaines (FMC) qui regroupe volontairement les membres du sexe féminin à partir de quatorze ans, l’Association nationale des petits agriculteurs (ANAP), qui rassemble les paysans privés, la Fédération des étudiants (FEU), la Fédération des élèves de l’enseignement secondaire (FEEM), autrement dit les lycéens, la Centrale des travailleurs de Cuba (CTC), qui concerne tous les travailleurs. Le premier exemple de ce débat intense étendu à tous les secteurs de la société cubaine remonte à 1975 – 1976 quand, une fois dépassée la pire époque de lutte de classes et de combat ouvert contre l’impérialisme étasunien, la Révolution cubaine décida de s’ « institutionnaliser » et se dota d’une Constitution inscrite dans les fibres même de la nouvelle société : son avant-projet fut discuté, à compter du 10 avril 1975, par 6 216 000 personnes dans des milliers de réunions d’un bout à l’autre du pays. La commission constituante créée dans ce but prit en considération les modifications proposées à l’Introduction du texte et à 60 des 141 articles ; le Premier Congrès du Parti communiste (décembre 1975) approuva cet avant-projet qui fut soumis, en février 1976, à référendum : 5 602 973 Cubains, soit plus de 98 p. 100 des électeurs, l’entérinèrent. Cette Constitution, promulguée le 24 février 1976, fut soumise à ce même processus en 1992, quand, les circonstances internationales et donc les conditions de survie nationales de la Révolution ayant radicalement changé, elle fut remaniée dans un certain nombre de ses articles clefs, débattue dans tout le pays puis adoptée par référendum. En juin 2002, face à la politique extrêmement agressive de l’administration Bush fils, résolument décidée à obtenir ce qu’aucune des précédents n’avait obtenu, liquider la Révolution cubaine, 8 198 237 Cubains votèrent un amendement à la Constitution aux termes duquel le socialisme à Cuba était irréversible et irrévocable (soit dit en passant, la Constitution française a prévu ce même cas de figure puisque son article 89 stipule : « La forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision ») et qu’aucun gouvernement ne peut établir de relations avec une nation étrangère en butte à des pressions ou à des menaces.
Ce fut le cas, toujours dans les années 70 et 80, du Code de la famille. Ce fut le cas, dans ce même contexte de Période spéciale, pour les lois économiques et sociales modifiant un certain nombre de règles du jeu, qui furent toutes analysées auparavant dans ce genre d’assemblées (sans référendum cette fois-ci). En 2008, ce fut celui de la nouvelle Loi de sécurité sociale qui, non par motivation idéologique néolibérale, mais à cause de circonstances économiques et démographiques contraignantes dans un petit pays sous-développé (pour cause de vieillissement de la population, il manquera 700 000 bras d’ici 2018), éleva graduellement l’âge de la retraite de 55 ans à 60 ans pour les femmes, et de 60 à 65 ans pour les hommes, institua une petite prise en charge par les travailleurs de la sécurité sociale et modifia le nombre d’années de travail. Le Code du travail, qui datait de décembre 1984, fut débattu dans les mêmes conditions voilà quelques années.
Dans un autre contexte, en 2011, le parti soumit ses Orientations de la politique économique et sociale du parti et de la Révolution, non simplement à ses militants, mais à l’ensemble de la population, car il estimait que ce document capital qui trace la voie à suivre dans la « modernisation et l’actualisation du modèle économique et social de Cuba » pour les prochaines années, devait être analysé, débattu et amendé par l’ensemble de la population. Et celle-ci le fit pendant des mois : 163 079 réunions réunissant 8 913 838 participants (cellules, centres d’étude, centres de travail, quartier, CDR, etc.) qui firent 3 019 471 interventions regroupées finalement en 781 644 opinions, dont plus de 395 000 furent finalement acceptées et servirent à la reformulation des 291 Orientations initiales pour les augmenter jusqu’aux 313 Orientations finales que le Sixième Congrès du parti communiste adopta en avril 2011.
Et c’est justement parce que, en avril 2016, le Parti, jugeant que le Septième Congrès serait centré sur l’analyse de la mise en œuvre de ces Orientations et qu’il ne s’agissait, somme toute, que du suivi du précédent, n’a pas soumis les documents correspondants au même débat public que des militants et des secteurs de la population ont estimé qu’il manquait quelque chose et que, soumis à cette pression, le parti a décidé de ne considérer les documents comme définitifs que lorsqu’ils auront été débattus dans les prochains mois par les organisations sociales et les organisations de masse ! Si bien qu’à compter du 12 juin et jusqu’au 22 septembre 2016, les deux documents clefs débattus au Septième Congrès du Parti communiste et engageant l’avenir de la nation seront discutés par l’ensemble de la population dans les centres de travail et à travers les organisations politiques et de masse qui regroupent l’ensemble de la population, à savoir : « « Projet de Conceptualisation du modèle économique et social cubain de développement socialiste » et « Projet de Plan national de développement économique et social d’ici à 2030 : Proposition de vision de la nation. Axes et secteurs stratégiques ».
De même, il a été annoncé qu’au moment opportun la population devra débattre de différents amendements à introduire dans la Constitution pour l’ajuster une fois encore aux modifications apportées dernièrement à l’ordre économique du pays, puis les approuver par référendum.
Que je sache, rien de ce genre n’existe dans les si « démocratiques » États-Unis, pas plus d’ailleurs qu’en Europe… Dois-je rappeler que la classe politique française a voté en 2008 (rien moins qu’à Versailles, de si sinistre mémoire pour le peuple révolutionnaire, quel symbole !) une profonde réforme de la Constitution française, et tout ceci en catimini, sans que ledit peuple ait eu son mot à dire. Les syndicats ont-ils eu quelque chose à voir, fût-ce de loin, avec la loi Macron ? Une seule des lois ou décisions néolibérales d’un gouvernement censément « socialiste » a‑t-elle discutée avec les travailleurs ou la population ? De quoi se plaignent les travailleurs français et pourquoi sont-ils descendus dans la rue et font-ils grève depuis deux mois sinon parce que, justement, la loi du travail (oui, « du », parce que je me refuse à écrire ce français qu’on prendrait pour de l’anglais !) a été préparée sans leur participation et « votée » par l’Assemblée nationale à coup, une fois de plus, de 49.3 ? Dois-je rappeler comment a été entériné le nouveau traité de Lisbonne, ou le mépris par lequel on a traité le vote irlandais, ou encore, dans un autre contexte, la façon dont on a fait la guerre à Hamas parce que le peuple palestinien de la bande de Gaza avait « mal voté »… !
Mais je dois rajouter ce petit commentaire à la suite, c’est trop.…vous jugerez vous-même.
alinea 1er décembre 2016 21:31
@Jacques-François Bonaldi
Mais vous oubliez de dire, que Michel Onfray a vu un chirurgien, contraint de jouer de la guitare le soir dans les cafés pour boucler ses fins de mois ‚suggère-t-il. la souffrance d’un homme contraint de jouer de la guitare est insupportable ici.
Merci pour votre commentaire , que je garde.
Bonjour.
Je viens d’écouter la semaine verte, juste un problème de fleures qui a fini par avoir des conséquences dans l’environnement, une fleure «« Une nuisance pour les terres agricoles
Une plante envahissante, l’impatiens de l’Himalaya, une beauté qui peut être une vraie nuisance pour les terres agricoles. »»
Une fleure, alors imaginons MONSANTO, le complexe militaro-industriel-bancaire, les fonds vautours (relation du crime organisé), etc.….…
Comment pouvons-nous contrer l’ensemble des PROBLÈMES et à l’échelle mondiale ?
C’est à chaque Peuple d’y voir, et il ne faut pas attendre après l’autre.
La France a le potentiel d’avoir une influence décisive sur ces voisins.
Mais encore faut-il faire le bon diagnostique pour opérer la bonne médecine.
Et sans aucun doute pour moi, le revenu de base inconditionnel adéquat est l’une des deux bases fondamentales pour le changement, l’autre étant les coopératives autogérées à temps partagé qui réguleront et stabiliseront l’économie. En plus élimination des faux emplois au fur et à mesure de son expansion.
Pour le revenu de base, inviter la population à en discuter entre amis es, familles, soldats, policiers.…..
Les gens dans la sécurité sont le réel maillon faible pour passer du système à un monde nouveau.
Il faut les inviter à réfléchir sur leur rôle véritable.
Il faut briser l’OMERTA qui couvre le monde de la sécurité. Et qui sont les mieux placés es ?
Bonjour
Regarder la beauté de la chose, deux documents vidéo, mais étrangement se rejoignent sur un point crucial.
Je m’explique, le libéralisme a inventé toute sorte de subterfuges pour se créer des fortunes, et remarquer toujours à partir de l’économie réelle, par prélèvement : les fameuses subventions aux entreprises, certaines en ont de besoin, mais pour d’autres leur permet d’investir leur économie et ils font d’une pierre deux coups.
Mais le libéralisme est rendu ailleurs, il a créé une économie fantôme avec des procédés fantômes qui dépassent plusieurs dizaines de fois l’économie réelle mondiale. À quoi sert les quasi institutions d’investissement si ce n’est de ponctionner l’économie réelle tout en l’affaiblissant systématiquement.
D’où la nécessité d’avoir la vue d’ensemble.
Donc nous avons à faire à un fantôme.
Il y a une ribambelle de courts métrages sur l’économie financiarisé fantôme.
Facile à trouver.
Mais je voudrais vous soumettre ces deux documents.
FILM DOCUMENTAIRE TRÈS INTÉRESSANT, SUR DIFFÉRENTS SUJETS : ENERGY, RICHESSE, SANTÉ, ATTITUDE MENTALE, VÉRITÉ, LIBERTÉ, PAIX, NOUVELLES TECHNOLOGIES, ETC. ICI…
Regardez de 49 min à 71 min (1h 11min).
FILM TRÈS INTÉRESSANT (Français)
https://www.youtube.com/watch?v=tiCXx18ks98
La main mise sur la santé passe par la main mise sur l’argent.
Salaire, retraite, l’employeur frappe toujours deux fois, Conférence de Bernard Friot.
https://www.youtube.com/watch?v=JbsOo95gPBA&feature=youtu.be
Dans les deux cas apparaît l’idée d’un fantôme économique.
Voyons, M. Friot laisse entendre qu’il n’y a pas d’accumulation. La prévoyance !!! Il n’y a que (4 min 50 à.….)
Alors que le capital accumule l’argent virtuel. La crise permet le transfert de l’argent réel vers les 1%. Et les entreprises d’investissements où prennent-ils leur argent pour investir.
Et bien là, il y a toute un système d’institution clone. Le mot important : CLONE.
Nous sommes dans la salle aux miroirs qui se reflètent les unes les autres. Il y a de quoi s’égarer, à moins de casser les miroirs, en quelque sorte. Et le fait de voir que ce sont des clones.……Le mot important : VOIR.
Ok, nous avons un problème, comment s’y prendre pour contrer ce système, ce leviathan aux mille gueules ?
Et bien, nous avons un levier extraordinaire, encore faut-il le voir. LES 4 SORTIS point.
Et la France en a la puissance. Imaginez l’effet de crise capitaliste, mais cette foi on les laisse s’effoirer.
Parce que le parti de gauche citoyenne travailleur va le faire par décret Souverain.
Le prétexte, l’UE a mis en danger les Peuples. Faites le bilan et vous en verrez la mesure.
La Grèce en est le cas patent.
Donc, il faut que la gauche se radicalise et quoi de mieux qu’un agenda politique radicale. Et le revenu universel inconditionnel, n’est-ce pas radicale face au radicalisme capitaliste : la dérèglementation radicale.
Décidément le libéralisme n’a de leçon à donner à personne, mais doit être sévèrement puni pour tous se crimes.
Attention, la Chine et la Russie ont leur propre propension à l’expansionnisme.
Donc la France doit mettre en avant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels
http://www.ohchr.org/FR/ProfessionalInterest/Pages/CESCR.aspx
Vous savez que le m6r.Fr prépare la VI République et la Constitution.
Il faut que dans le préambule de la Constitution soit inscrit en toute lettre :
Article premier
1. Tous les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes. En vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et assurent librement leur développement économique, social et culturel.
Si chaque pays y inscrit dans son préambule de sa Constitution, imaginez l’effet sur l’ONU.
Ou bien L’ONU assume son rôle ou bien nous la remplaçons par L’OPU. l’Organisation des Peuples Unis et qui reprend les textes fondamentaux de l’ONU mais avec force de la loi Démocratique effective dans tout pays et adhérant et signant la “résolution effective” de l’OPU.
Ou bien l’ONU se réforme avec la participation d’Instances civiles ou bien l’OPU prend la place.
Maintenant adoptons une parole qui a force de loi démocratique.
Attention aux fausses divergences revenu de base – salariat. De la complémentarité.….…
CADTM, une expertise formidable
Le capitalisme, si on regarde bien, il nous donne des enseignements sur la création de l’économie.
Débarrassons-nous des vrais parasites, et la répartition et bien c’est à nous de la concevoir, Cuba nous donne une leçon de démocratie participative comme je l’ai signalé dans un commentaire plus haut.
M. Friot nous enseigne quelque chose, il faut bien le voir.
Attention, ceci est mon OPINION, j’insiste.
JLM, un autre Tsipras et France Insoumise un autre Syrisa, J’en ai bien peur.
Comment vérifier ?
Et bien en organisant des débats organisé par les militants de la diaspora de la gauche sauf PS, en ce qui concerne le PCF (à des conditions, trop pro PS) dans des lieux symboliques médiatisés.
Des représentants du PARDEM, du PRCF et d’autres crédibles.
Si JLM refuse on aura une bonne idée claire du bonhomme et de ses véritables vues.
En tout cas cela servira de premier croquis, vous savez les peintres se réfèrent à leurs croquis pour l’ oeuvre.
De même la démocratie participative cubaine, une expertise.….
De même le mouvement coopératif argentin, une expertise.…
L’Amérique latine a tout une expertise à ne pas laisser aller.
Et les US montrent et démontrent qu’ils n’ont aucune morale et que la liberté religieuse n’est qu’un élément de division profonde et est instrumentalisée à des fins politiques.
Pour ma part la religion fait parti du Vieux Monde, elle a fait un boulot de civilisation très imparfait, mais elle a tant soi peu adoucit les moeurs mâles. Mais il y a tout un travail qui reste à faire, comme nous pouvons le constater dans le monde, mais bien chez nous. Il n’y a qu’à regarder les abus d’enfants, les viols.… et le harcèlement chez les jeunes. Le crime organisé qui ne cesse de se renouveler. Deux facteurs : l’éducation et la loi.
Cela aussi doit faire parti de nos réflexions pour le changement.
Sur CPAC, incroyable comment le canada est attaché au marché mondial et à ses contrats commerciaux. Le parti de Trudeau la courroie, au même titre que le PCC (parti conservateur canadien), de nos bons hommes d’ affaires exploiteurs prédateurs. On peut parler de la modernisation des dieux de la Grèce Antique, mais aujourd’hui ils volent vraiment, dans les deux sens du terme. Créateur d’emploi et de richesse. Bien assis sur leur cul, au golf, …ce sont des gens qui travaillent tellement fort.….… C’est vrai que de donner des ordres ça demande de l’énergie.
Une métaphore _ Dieu se retire pour que la création soi
Dommage que monsieur Montebourg passe sciemment sous silence que le mot travail trouve son origine dans le terme bas latin trepalium ; une déformation de tripalium, un instrument formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir…
Évidemment que le travail peut-être l’exact contraire de “la santé” ou de la dignité ! Ce ne sont quand même pas les exemples qui manquent… Suicide sur le lieu de travail, burn-out et Cie…
La valeur de son travail à lui (à monsieur Montebourg), n’a pas – et n’auras d’ailleurs jamais – la même que celle d’un autre de ses compatriotes lambda…
Monsieur Filoche (ancien inspecteur du travail) pourrait peut-être lui en toucher quelques mots ?
Pour moi, l’outil de la dignité, ce n’est donc pas le travail, mais c’est bel et bien l’homme lui-même, et seulement lui.
C’est l’homme qui perçoit de la dignité dans le (son) travail ou non, c’est l’homme qui perçoit de la dignité (ou non d’ailleurs) dans la pénibilité du travail des autres, comme c’est l’homme qui perçoit “le manque de dignité” chez “ceux qui ne travaillent pas”…
(…)
Chez l’homme, sa dignité s’impose donc d’abord avec lui-même, ensuite directement avec ses semblables et avec tous les outils possibles (le revenu de base me parait en être d’ailleurs un de plus, mais aussi indispensable que les autres).
Affirmer que le travail est un outil de dignité dans le sens du propos de monsieur Montebourg sous-entend à mon avis que sans travail (sous-entendu travail salarié d’ailleurs), l’homme n’a pas de dignité.
Et de mon point de vue, c’est pourtant une fois de plus encore pourtant ignorer ou oublier un peu plus le travail des bénévoles, que de ne pas y penser et de ne pas être favorable à l’instauration “dès demain” d’un revenu de base.
Je vais commenter le passage suivant :
“Ensuite, le travail comme l’outil de la dignité du citoyen, ce serait une belle chose, seulement dans notre société, il semble que pour beaucoup, le travail institué en emploi, ne soit pas vraiment le lieu où s’exalte l’émancipation, ni la dignité humaine. Selon l’institut Gallupiii 13% seulement des travailleurs français seraient impliqués dans leur travail. Parmi les 87% restants, presqu’un tiers sont activement désengagés, c’est-à-dire qu’ils développent un rapport au travail contre-productif en conflit avec les intérêts de leur employeur… Je vous laisse réfléchir à l’énergie humaine gaspillée dans le système de l’emploi actuel.”
Je trouve dommage que le MFRB se fourvoie dans un discours anti-emploi. C’est une grave erreur. C’est avec ce genre de discours que l’on perd notre capacité à convaincre.
Le discours bénévolat VS emploi est à mon avis un piège dans lequel il ne faut pas tomber. Oui, le bénévolat, c’est bien. Mais une société avec une moitié de salariés et une autre de bénévole n’est pas désirable.
En plus, il y a du bénévolat qui pourrait (devrait) être requalifié en emploi, par exemple en recherchant des subventions publiques. Avec de telles discours sur le revenu de base, on se détourne du fait que les associations ont elles aussi besoin de subventions pour pouvoir embaucher.
Je pense qu’il aurait fallu plutôt insister sur les points suivants :
1) Nous partageons aussi l’idée que tout le monde doit pouvoir participer à la vie économique par l’emploi
2) le revenu de base ne dispense pas de travailler en emploi. Il donne juste la capacité à l’individu de refuser une emploi ou des conditions de travail qu’il juge indigne ou inutile, ou alors de négocier un meilleur salaire
3) le revenu de base ne dispense pas la société de mettre en oeuvre tout ce qui est nécessaire pour permettre à chacun d’accéder à l’emploi : formation, accompagnement, garde d’enfants, investissements dans la transition écologique… Car ce n’est pas l’existence d’un revenu de base qui freine l’emploi,mais bien le manque de formation, de mode de garde ou de confiance en soi.
“ce n’est pas l’existence d’un revenu de base qui freine l’emploi,mais bien le manque de formation, de mode de garde ou de confiance en soi”
Vous oubliez quand même que la difficulté à un candidat à l’emploi n’est pas toujours que de son seul profil inadéquat.
En fait, vous oubliez au moins que les discriminations et le refus du dumping social freinent aussi et déjà l’emploi.
Je vais vous en apprendre une bien bonne ; si quelques candidats marginaux ne jouent pas “le jeux” de leurs obligations, certaines entreprises ou pratiques intra-entreprises ne jouent pas non plus le jeux (de leurs obligations).
Là encore, officiellement, c’est toujours “la faute” au candidat (ou au licencié) qui n’a décidément pas le bon profil pour être dans l’emploi…
La confiance en soi au fur et à mesure de ces “expériences” devient impossible, puisque par conséquent, il peut devenir impossible de faire confiance à l’autre (et plus précisément aux “recruteurs”).
Les minimas sociaux peuvent déjà jouer (pour certains) une protection contre le dumping social, mais c’est une protection potentiellement fragile, et soumise aux effets de seuil désincitatifs, pour ceux qui s’y “installent” généralement malgré eux…
Devoir rendre-compte de ce genre de déboires ne fait pas avancer la situation, et même naître la suspicion sur le demandeur d’emploi. Un comble !
Le travail source d’épanouissement… Pour quelques privilégiés sans aucun doute. Pour les autres…
C’est oublier tous les maltraités, méprisés, spoliés, bafoués…
Et/ou tous ceux qui s’épanouissent en dehors de l’emploi.
Le revenu de base n’oppose pas travail le travail dans l’emploi au bénévolat. Mais il est le seul à finalement vouloir reconnaitre une valeur pécuniaire minimale à ce dernier, avec ce droit inconditionnel sur l’individu.
Et il est beaucoup plus incitatif au travail dans la mesure ou il se cumule très clairement et simplement.
Le bénéficiaire peut gérer librement sa vie, se projeter, s’adapter.
Pour finir, le revenu de base n’est pas une incitation à ne plus travailler comme vous semblez le craindre Jean-Eric (comme tous ceux qui y sont généralement opposés).
“Au pire” il sera peut-être une incitation – pour ceux qui en auront envie – à “partager” leur emploi avec une autre personne ; genre, au lieu d’un CDI à temps plein, deux candidats au mi-temps pourraient se partager un travail pénible.
Les travailleurs concernés s’en porteraient d’autant mieux, et la productivité de leurs entreprises avec.
Jean-Eric,
je ne suis pas du tout d’accord avec ce discours selon lequel le travail par l’emploi doit-être une évidence. Sacraliser l’emploi pour tenir un discours qu’il est facile d’entendre me paraît le meilleur moyen de diluer l’idée du revenu de base et d’assécher le débat. Il serait par ailleurs inapproprié pour un mouvement aussi transpartisan d’officialiser une position de défense de l’emploi pour le moins dogmatique.
Ton 2) “le revenu de base ne dispense pas de travailler en emploi” signifie que tu voudrais que le MFRB défende officiellement l’obligation du travail en emploi… J’ai du mal à commenter.
C’est aussi nier toutes les autres formes de travail et de création de valeur à priori. Ton exemple de demande de subventions pour les bénévoles en est une parfaite illustration puisque c’est une reconnaissance à posteriori et conditionnée. En contradiction donc avec l’esprit du revenu universel inconditionnel.
Bonjour.
Le problème ici, dans les commentaires, c’est que vous ne décollez-pas. vous êtes comme la chenille, ou bien vous êtes encore pris dans le cocon, passer au papillon et voyez le potentiel révolutionnaire du revenu de base.
L’idée de lier la dignité humaine au travail, est la chaîne.
Et la contradiction revenu de base inconditionnelle adéquat versus salariat, est justement l’occasion d’un débat pour démystifier.….mais la condition : une vue d’ensemble (le travail dans l’histoire et le modus operandi de l’exploitation) et le questionnement sans concession et déterminé à épuiser le sujet.
L’autre pan : le potentiel de changement, les avantages pour tous, l’élimination de la pauvreté matérielle la condition d’éradiquer la pauvreté intellectuelle.
La seule obligation pour chacun ne est de voir à ses propres priorités.
L’alcoolique devra s’en occuper point.
Un autre sera d’apprendre à lire, ici, c’est son problème.
Un veut être libre de voyager, et bien tant mieux, il apprendra beaucoup.
Un autre veut rester dans le statu quo du travail, tout à fait libre.
Mais qui a peur de la révolution humaine ?
Les croyances, dans la mesure qu’elle ne sème pas le trouble, comment, dieu a dit : si je ne l’appelle.…
C’est à dire que la brebis va vers le berger, et non l’inverse…Avis aux prêcheurs.
Combattre l’IGNORANCE.
BIEN POUR MOI LE TRSAVAIL N’A PLUS RIEN À FAIRE AVEC LA DIGNITÉ HUMAINE. C’est une conception de l’humain qui date, l’homo faber. Il est temps de passer à un nouveau paradigme sur le chemin de notre Humanité dont l’imagination que nous a fait don l’Évolution Naturelle, on ne réinventera pas la roue HEIN !
Donc, il est temps que nous les citoyens travailleurs récupérions du temps de vie volé par les exploiteurs et leur laquais au volant du pouvoir.
Ce temps nous permettra de mieux organiser nos vies et de retoucher la culture qui nous façonne, et que d’autres aimeraient bien organiser.
Comment dire.
Un petit commentaire laissé sur Venezuela Infos WordPress, que je recommande.
¨Comprendre le Venezuela¨, Andrés Bansart parle de son nouveau livre.
COMMENTAIRE
La meilleure.
http://www.msn.com/fr-ca/actualites/monde/zuckerberg-veut-%c2%abrassembler-lhumanit%c3%a9%c2%bb/ar-AAn1SZu?li=AAgh0dy&ocid=mailsignout
Zuckerberg veut « rassembler l’humanité »
http://www.msn.com
Le patron de Facebook a publié jeudi un manifeste anti-isolationnisme et pro mondialisation.
Comme quoi, l’ÉGO n’a pas de limites de prétentions……
https://venezuelainfos.wordpress.com/2017/02/15/%c2%a8comprendre-le-venezuela%c2%a8-andres-bansart-parle-de-son-nouveau-livre/#comment-2007
Comment financer le revenu de base ?
Il y a plein de coffre, et nous savons où ils sont.
Mais il nous faut comprendre le plan d’affaire Dette-austérité.
Comment ça marche ?
Pour comprendre la crise de 2008.
CADTM (plus haut une faute _ CADM _ mes excuses)
Qui sauve qui ?
22 juin 2016 par Anouk Renaud
Extrait :
«« Le soi-disant sauvetage de la Grèce reste en réalité la plus importante transformation d’une dette privée (celle des banques) en une dette publique. Alors qu’en 2010, la quasi-totalité de la dette publique grecque était détenue par les banques privées, elles sont parvenues à refiler la patate chaude aux pouvoirs publics. Aujourd’hui, les institutions publiques (FMI, BCE, FESF) et les États européens détiennent 80 % de la dette grecque.
L’artillerie lourde a donc été sortie non pas pour sauver la Grèce, mais les banques privées européennes, grecques y compris. D’ailleurs à y regarder de plus près, les nouveaux créanciers de la Grèce ne s’en cachent pas tellement… Le FMI est on ne peut plus clair à ce sujet, puisque en 2013 un de ces rapports admet que « repousser la restructuration de la dette offre une fenêtre aux créanciers privés pour réduire leur exposition et transférer leurs créances au secteur public » |16|. »»
http://www.cadtm.org/Qui-sauve-qui,13640
Voyons la démarche du représentant vendeur-acheteur.
Grèce : les Banksters ont gagné
par Cpt Anderson(son site)
lundi 13 juillet 2015
Le drame grec a été commenté et analysé à sens unique par des journalistes aux ordres de ceux qui les paient, ressassant à temps et à contretemps que les grecs ne sont que des feignants, des profiteurs, quand ils ne sont pas des fraudeurs.
La Grèce a tout simplement été victime d’un attentat financier.
Les confessions de l’ex-assassin financier, John Perkins se retrouvent dans la mise à sac de la Grèce :
Pour l’essentiel, mon boulot consistait à identifier les pays détenant des ressources qui intéressent nos multinationales, et qui pouvaient être des choses comme du pétrole, ou des marchés prometteurs, des systèmes de transport. Il y a tant de choses différentes. Une fois que nous avions identifié ces pays, nous organisions des prêts énormes pour eux, mais l’argent n’arriverait jamais réellement à ces pays ; au contraire, il irait à nos propres multinationales pour réaliser des projets d’infrastructures dans ces pays, des choses comme des centrales électriques et des autoroutes qui bénéficiaient à un petit nombre de gens riches ainsi qu’à nos propres entreprises. Mais pas à la majorité des gens qui ne pouvaient se permettre d’acheter ces choses, et pourtant ce sont eux qui ployaient sous le fardeau d’une dette énorme, très semblable à celle de la Grèce actuellement, une dette phénoménale.
Et une fois [qu’ils étaient] liés par cette dette, nous revenions, sous la forme du FMI – et dans le cas de la Grèce aujourd’hui, c’est le FMI et l’Union européenne – et posions des exigences énormes au pays : augmenter les impôts, réduire les dépenses, vendre les services publics aux entreprises privées, des choses comme les compagnies d’électricité et les systèmes de distribution de l’eau, les transports, les privatiser, et devenir au fond un esclave pour nous, pour les sociétés, pour le FMI, dans votre cas pour l’Union européenne. Fondamentalement, des organisations comme la Banque mondiale, le FMI, l’UE sont les outils des grandes sociétés multinationales, ce que j’appelle la corporatocratie.
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Tous ceux qui ont une once de pouvoir dans le monde savent très bien quand ce mécanisme est en train de se produire quelque part sur la planète. John Perkin l’a très bien décrit dans son ouvrage en prenant exemple sur l’Argentine ainsi que plusieurs pays d’Amérique latine qui ont été victimes du même processus.
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/grece-les-banksters-ont-gagne-169710
Voilà des documents que tout militant devrait avoir dans sa boîte à outil.
L’état de droit a fait faillite, passons a l’état démocratique citoyenne travailleur.
Il y a des mots que nous devons réhabilités.
La droite, quand elle parle du socialisme ou du communisme, elle croit que les gens sont encore au siècle dernier de la guerre froide avec les nombreuses dérives. La gauche a le devoir de rectifier les choses et de faire du ménage.